Jah Light - Almighty Zion Keepers (2021)


ARTISTE : Jah Light
TITRE : Almighty Zion Keepers
FORMAT : CD / Digital
LABEL :AZK Productions
RELEASE-DATE / SORTIE : 09.04.2021
COM DE PRESSE :Pdf
PRESS-RELEASE : Pdf

*NEW Album
Almighty Zion Keepers
disponible depuis le 09.04.2021
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01. Corona Can’t Stop Reggae Ft. Général Dimitri & Ras Kalif
02. Cette Chanson
03. Knockin’ On Heaven’s Door
04. Politique Vampire
05. Ni Dji Bôna Ft. Soeur Barry
06. Touche Pas Mes Dreadlocks
07. Who Can Save ? Ft. Don Carlos
08. Babylon Burn
09. Jah Voit
10. Let Jah Be Praised
11. Politique Vampire Dub
12. Touche Pas Mes Dreadlocks Dub
13. Babylon Burn Dub


*NEW Single exclusif My Life
Production : Official Staff
© La Grosse Radio 2021 : Disponible
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*NEW Single exclusif Take It Easy
Production : Official Staff
© La Grosse Radio 2021
Disponible – Ecouter
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Single Who Can Save ? featuring Don Carlos
Disponible
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*Livestream en direct d’Abidjan
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Single Knockin’ on Heaven’s Door
Disponible
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Single Corona Can’t Stop Reggae
Disponible
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Single Politique Vampire
Disponible
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Jah Light, Basile Valentin Okon à l’état civil, est née le 2 septembre 1981 à Cocody, Abidjan, Côte d’Ivoire. Son père est alors directeur pédagogique et sa mère agent commercial. Il grandit avec ses dix frères et sœurs dans la commune des deux plateaux où il passera son enfance et son cursus scolaire.

Il est très vite pris par le virus de la musique et passe son temps libre dans les couloirs des studios de fortune qui se développent à Abidjan. Il intègre rapidement différentes formations musicales reggae et commence à chanter avec le groupe reggae Jam en 2001. Le groupe se produit régulièrement dans les différents spots de la ville (Pams, Jamaica, Kingston, Menekre). Il a à peine 20 ans quand il décide d’arrêter ses études à l’INSAAC et s’immerger dans sa culture, préférant passer nuits et jours avec ses aînés. Jah Light s’embarque alors dans une vie de Bohème propre aux aspirants artistes. Il prendra la route pour des tournées dans la sous-région, notamment au Burkina et au Bénin. Jah Light se fait un nom. On le demande en 2011, d’abord Alpha Blondy pour un duo sur le titre International Herb puis Les Vieux Mogos – le groupe le plus international d’Abidjan – pour leur titre I’m Dread.

Anti conformiste et rebelle dans l’âme, Jah Light est multi instrumentiste (guitare, basse, batterie) et ne jure que par le Reggae. De 2007 à 2020, il se produit régulièrement en tant que chanteur lead au mythique Parker Place. Une expérience certaine de la scène qui vient aussi enrichir son impressionnant répertoire de reprises. Jah Light est un artiste entier et sincère qui contribue activement à développer le reggae ‘made in Côte d’Ivoire’. Ce premier album, très attendu, représente l’aboutissement de 20 ans de carrière et une nouvelle page qui s’ouvre pour l’artiste. Jah Light y présente 9 titres qu’il a lui-même écrits et interprétés, ainsi que le titre Corona Can’t Stop Reggae venu s’imposer comme une évidence, véritable cri d’espoir en collaboration avec les chanteurs General Dimitri et Ras Kalif. Également au tracklisting de l’album, la légende jamaïcaine Don Carlos sur Who Can Save enregistré en décembre 2020 à Abidjan. Jah Light chante les thèmes qui lui sont chers. De Cette Chanson à Let Jah Be Praised en passant par Politique Vampire, son engagement reste authentique et résolument tourné vers la culture rasta. La maturité aidant, le prolifique Jah Light promet d’enchaîner les projets et de traverser les frontières avec sa musique.


« Almighty Zion Keepers » : L’ALBUM
« Almighty Zion Keepers », premier album de Jah Light, a été enregistré entre Mars et Juin 2020 (9 premiers titres) et finalisé en Décembre 2020 (suite à la venue de Don Carlos à Abidjan notamment !).

2020 aura été une année difficile pour le monde culturel, où la plupart des concerts, festivals et scènes Live ont été mis à l’arrêt en raison de la pandémie mondiale de corona virus. Mettant ce temps à profit et disposant d’un studio (celui de son label AZK Production) à Abidjan, il a pu matérialiser et peaufiner cet album aux côtés de divers musiciens ivoiriens croisés au fil de sa (déjà longue) carrière. Les textes étaient inscrits dans le marbre depuis longtemps, Jah Light avait besoin d’un cadre, de temps et de disposition d’esprit. C’est ainsi que l’enregistrement des 10 titres s’est déroulé dans une atmosphère de reconstruction, avec la volonté de montrer sa polyvalence et son indépendance. L’artiste a été soutenu par son épouse qui a su l’entourer de personnes inspirées autant qu’inspirantes (Georges Kouakou, Serge Assouan, Christian Konutse) l’encourageant à dévoiler davantage sa personnalité. En effet, c’est aussi pour ses reprises magistrales de Bob Marley qu’on connaît Jah Light, il était ici déterminant d’affirmer un univers artistique propre. « C’est Jah qui inspire, c’est Jah qui donne. Il a plu à Jah de faire de cette période de confinement mondial un temps propice à mon émancipation personnelle ».

Les collaborations avec ses compagnons d’armes tels que Ras Kalif et General Dimitri s’inscrivent dans un esprit d’ouverture et de simplicité. Jah Light est originaire d’une minorité ethnique du Sud Est du pays (M’Batto aussi appelé Gwa) issu du groupe Akan. Il chante en anglais, en français mais aussi en langue locale – le Dioula – langue qui n’est pas la sienne mais qu’il a souhaité emprunter pour appeler à la paix et à la réconciliation. Ses textes sont engagés mais appellent sans relâche à l’apaisement, l’union, la méditation, la sagesse et la justice. Et, en tant que fervent Rasta, une spiritualité débordante et un Jah omniprésent. Sur Cette chanson, Jah Light gage que seul le reggae pourra changer l’humanité. L’ambiance du morceau nous ramène à la fin des 60’s, à l’époque du ska et du rocksteady. Le chanteur aime dénoncer les dérives d’une société régie par l’argent, la réussite personnelle et de plus en plus déconnectée de la nature. Car si Dieu avait détruit la cité de Babylone qui avait péché par excès d’orgueil, les Rastas prophétisent la chute de notre ‘shitstem’, à l’image de l’explicite Burn Babylon ! Une référence directe à la Bible (Jérémie 51), et en tant que Rasta pratiquant, Jah Light n’a pas touché sa chevelure ces 20 dernières années. Le duo avec Don Carlos s’est fait de la façon la plus naturelle qu’il soit puisque, de passage à Abidjan pour deux concerts les 25 et 26 décembre derniers (AZK Productions), Don Carlos a fait la connaissance de Jah Light et apprécié sa personnalité. Ils entrent tous deux en studio et enregistrent Who Can Save, composé par Jah Light, véritable manifeste rasta appelant à la réunification et à la spiritualité. Le titre de l’album « Almighty Zion Keepers » est lui aussi chargé de sens – les gardiens célestes de Sion – il fait aussi écho au nom du tout premier groupe crée par Jah Light il y a 20 ans : Zion Keepers.


Suivez Jah Light et AZK Productions

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By Philippe Campos (Abi Reggae Festival 2017)
By Philippe Campos (Abi Reggae Festival 2017)

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